Il faut, pour remporter la partie, que chacune des 2 armées arrivent à éliminer les 3/4 de l'armée adverse, soit 45 figurines à tuer pour le bien, et 42 figurines à tuer pour le mal.
__________________________________________________________Une petite partie de l'armée de Suladân marchait vers le Harad, après une guerre contre les Hommes. Suladân, ayant vaincu les troupes, se retira pour retourner en Harad. Après une victoire aussi écrasante, personne ne s'attendait à ce que les Hommes revinrent se battre avec leurs dernières forces...1er tour:Le son d'un cor sonna. D'un mouvement furtif, le Chef Mahûd se retourna.
"N'ont-ils pas pris leur leçon?"
Il se cabra, pris les rennes et fit demi-tour, l'armée l'imitant dans un même geste. Il plissa les yeux et reconnut les dernières forces qu'ils avaient vaincues à peine quelques heures auparavant.
Passablement enervé, il jeta un regard en contrebas, Suladân croisa son regard, et fi un signe de tête. Tout se passa alors très vite. Il ammena son capitaine à côté de lui, lui murmura quelque chose. Il amena la moitié des guerriers avec lui, ainsi qu'une poignée de Pillards chargés de sa garde. Il continua de regarder le Seigneur Serpent, puis, ce dernier hocha la tête. Il tira, les rennes, souffla dans son cor et le convoi partit à l'assaut.
Alors que l'Olifant s'éloignait, non sans tremblements à chacun de ses pas, Suladân emmena une vingtaine de guerriers et quelques cavaliers et partit à son tour, suivit du groupe de son capitaine...
Tandis que le Mûmak ne manquait pas d'accélérer, les Gondoriens furent bientôt à portée de flèches. Mahûd les fit attendre, puis demanda de tirer, alors que la cinquantaine de Gondoriens formaient un seul bloc, ayant pour but de contenir l'assaut, quand celui-ci devrait arriver...
Les Gondoriens perdirent dans ce premier assaut trois des leurs, atteints par les flèches empoisonnées. Ils n'eurent pas le temps de reculer, le groupe de Suladân arrivant par derrière le Mûmak. Faramir empoigna les rennes de son cheval, appela les cavaliers et partit à l'assaut.
"Chargeeeeez!...." cria-t-il, alors que les cavaliers brandissaient leurs lances.
Une dixaine de cavaliers face à une vingtaine de guerriers, ce fut certes un combat inégal, mais le but de cette bataille suicidaire éait de blesser au plus fort les forces ennemies. Alors qu'ils se rencontraient, il y eut un grand fracas. Un cavalier fut transpercé par la lance d'un Pillard, tandis qu'un second recevait une flèche empoisonnée. Les Haradrims subirent une faible perte, un guerrier ayant été piétiné par un cheval.
Les Gondoriens ne s'étaient-ils pas envoyés à la mort seuls?
2ème tour:Pendant que Suladân continuait de s'enfoncer encore plus dans les lignes métalliques, le Mûmak, toujours mené par Mahûd, revenait à la charge. Il écrasa une demi-douzaine de guerriers, tandis qu'un Haradrim tomba au bas du howdah, touché par une lance.
Les Gondoriens sentaient que la bataille était perdue d'avance, aussi, ils reculèrent. Boromir se retourna, ne comprit pas pourquoi ils refusaient de se battre, et sonna son cor.
"Battez-vous!"
Aussitôt, les guerriers s'arrêtèrent, attendant un ordre de leur chef, quand celui-ci cria:
"Chaaaaargeeez!!!! Pour le Gondor! Pour l'Intendant!"
Dans un grand hurlement, les Gondoriens chargèrent, leurs pas résonnant sur le sol. Les premiers tirèrent flèches et lances, lancèrent épées et poignards. Le Mûmak fut blessé par deux fois, recevant des projectiles sur les pattes. Ce retournement ne plut pas à Mahûd, encore moins à Suladân. Ce dernier empoigna sa monture, appela ses Pillards, et chargea vers la masse métallique qui avancait dangeureusement, tandis que les Haradrims logés dans le Howdah sortaient leurs flèches du carquois....
3ème tour:Les guerriers Haradrims suivirent les Pillards si vite qu'ils eurent vite dait de les rattraper. Le capitaine les menait, et l'Olifant suivait.
Puis, le choc se fit. Cinq guerriers de première ligne furent tués de chaque côté. Les Pillards n'avaient encore subi aucune perte, et comme pour confirmer leur réussite, ils s'extrairent des combats, contournèrent la baliste, et fondèrent sur les servants qui furent tous massacrés, la baliste également. En représailles, Boromir tua un Pillard, mais fut blessé par une flèche empoisonnée, et elle n'allait pas tarder à agir. Il arracha la pojnte, et retourna près du médecin, en envoyant Faramir prendre la relève...
4ème tour:Faramir, muni de 4 cavaliers, marcha à la rencontre de Suladân. Le Seigneur Serpent ordonna aux autres de ne rien faire, Faramir fit de même. Suladân descndit de son cheval et incita le jeune maître de Gondor à en faire autant. Il sortit sa lame meurtrière, la pointa sur Faramir comme pour un ultime défi. Avant que le Capiatine ne puisse la sortir à son tour, il sortit un long et fin poignard, qui alla se briser sur l'armure résistante de Faramir. Privé d'un bon atout, il ne cilla pas et se tint prêt à combattre, ne bougeant aucun membre de son corps. Passablement anxieux, Faramir s'approcha prudemment et s'aperçut que Suladân avait les yeux fermés. Il le contourna, prêt à donner un coup fatal.
Suladân ouvrit brusquement les yeux, sortit une lame en tout point semblable, se retourna, et donna deux coups croisés à sn adversaire qui ne résista pas, et s'effrondra. Mort.
Les autres combats faiblèrent en intensité, tout le monde étant rivé sur le combat. Les Haradrims, exultants, tuèrent une demi-douzaine d'autres guerriers.
La victoire se dessinait à présent pour les Haradrims, n'ayant plus que six guerriers à tuer.
5ème tour:Le Mûmak n'eut aucun mal à faire rentrer les Gondoriens à la Cité Blanche. Après que le Chef Mahûd eut ordonné aux Haradrims de jeter un déluge de lances et de flcèhes, et qu'il ne resta plus que deux Gondoriens à abattre, le Mûmak se jeta en avant et tua sept autres Gondoriens dans un assaut plus que meurtrier...
Le reste des forces humaines failissait, et les Gondoriens rentrèrent, affaiblis...
Boromir mourut en chemin, avant de revoir une dernière fois la Cité Blanche qui lui était destinée à la mort de son père...
@+